LivreFeuille
Bienvenue sur le catalogue en ligne!
Détail d'une collection
|
Documents disponibles dans la collection (23)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
texte imprimé
"Un long hurlement, celui d'une foule d'enfants, secoue la planète. Dans les villes, le Cri passe à travers les murs, se faufile dans les canalisations, jaillit sous les planchers, court dans les couloirs des tours où les familles dorment les un[...]texte imprimé
"Les enfants, les bébés, ils les appellent les 'petitous'. Et c'est vrai qu'ils sont des petits touts. Qu'ils sont un peu de leur mère, un peu de leur père, un peu des grands-parents, un peu de ceux qui sont morts, il y a si longtemps. Tout ce q[...]texte imprimé
"Les poètes meurent au combat même quand ils meurent dans un lit. Ils livrent bataille toute leur vie." Hanté depuis toujours par la mort, dès ses premiers écrits, Christian Bobin paria pour le salut par la poésie, plaçant sa vie "sous une pluie[...]texte imprimé
Je ne suis pas l'ami d'André Chaix, et aurais-je d'ailleurs su l'être, moi que presque rien ne relie à lui ' Juste un nom sur le mur. Chaix était un résistant, un maquisard, un jeune homme à la vie brève comme il y en eut beaucoup. Je ne savais [...]texte imprimé
"Jamais aucune époque n'a autant été marquée par le désir de changer de vie. Nous voulons tous, à un moment de notre existence, être un autre."texte imprimé
"Nous sommes la somme de nos amours. Et c'est la seule chose qui restera de nous." On l'a comparé à Gandhi, à Einstein, à Lénine. Des foules l'ont acclamé. Des milliardaires lui ont tapé sur l'épaule. Les damnés de la terre l'ont imploré. Aujo[...]texte imprimé
Paolo fait partie des rares humains, "les Appelés", choisis par une puissance mystérieuse pour recevoir et diffuser un message simple et terrible : dans 780 jours la présence des hommes sur la Terre prendra fin. Une minorité d'élus sera alors sa[...]texte imprimé
"Le zombie, bien sûr, c'est mon Nicolas qui se tient au centre du cercle de la cour du rocher, à genoux, courbé, rachitique, sa colonne dessinant un z, tordue comme le dos flagellé d'un martyr, semblant servir de paratonnerre à l'orage qui tarde[...]texte imprimé
"La danseuse arrivait, le matin, à sept heures quarante-cinq, gare du Nord. Ensuite le métro jusqu'à la place de Clichy. Le bâtiment du studio Wacker était vétuste. Au rez-de-chaussée, une dizaine de pianos d'occasion, rangés en désordre comme d[...]texte imprimé
"Il n'était pas très grand ; des cheveux bruns, peignés en arrière et crantés, le front haut, une chemisette avec des pattes sur l'épaule. Il sourit en fumant. Puis tendit la main à Madeleine : Vous dansez ' Elle s'excusa : Non, je danse très pe[...]texte imprimé
Gonzalo, fils d'un viticulteur d'un petit village d'Estrémadure, s'enfuit pour éviter le service militaire instauré par les franquistes et le destin médiocre auquel il se croit promis. Mais, après des années passées en France et un amour malheur[...]texte imprimé
"C'était il y a tout juste un an.Une famille a disparu, là où personne ne disparaissait jamais.On m'a chargée de l'enquête, et ce que j'ai découvert au fil des semaines a ébranlé toutes mes certitudes. Il ne s'agissait pas d'un simple fait-diver[...]texte imprimé
"Parfois, des voisins nous regardaient par-dessous un rideau soulevé à la va-vite. Charles leur faisait des doigts d'honneur, moi un sourire gêné, ma mère ne les avait même pas vus. Et après ces centaines de kilomètres à traverser la France, nou[...]texte imprimé
Brun va mourir. Il laissera bientôt ses terres à son fils Mo. Mais avant de disparaître, pour éviter la faillite et gommer son image de pollueur, il décide de couvrir ses champs de gigantesques éoliennes. Mo, lui, aime la lenteur des jours, la q[...]texte imprimé
"J'ai failli le rater de peu. Au moment où je l'ai vraiment connu et compris, où je l'ai vraiment aimé, où enfin j'allais pouvoir profiter de lui et de son estime, on me l'a arraché, comme si ce que nous devions construire ensemble nous était in[...]